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Capalest

Capalest
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18 août 2009

Départ

Départ de Modane, nos packtage gonflé à bloque et nos guibole entrainé pour l'aventure avec nos excursion montagneuse embarque pour l'Italie, direction Torino en Italie.
Durant ce cours périple, je ne vois aucune différence entre la France et l'Italie dans les premier km, je pense que l'explication se trouve dans la proximité historique et géographique de cette région piemontaise.
Arrivée à Torino, 1h00 d'attente puis embarquement immédiat pour Vérone.
Le trajet Turin Vérone, me fait découvrir la pleine du pô que je ne connaissais qu'à travers l'histoire de Mussolini qui  "A partir de 1927 entreprend la bataille du blé, avec la mise en valeur de la plaine du Pô et des zones marécageuses du Nord-Est".
je regarde donc à travers mon hublot cette étendu de plantation de blé à perte de vu et comme limite à gauche et à droite les montagnes délimitant cette zone.
20070217091246_Plaine_du_P__villes

Le train avance fandant les champs de blé, laissant place petit à petit au vignoble de la région Véronaise, les fermes son remplacés par des belles batisses couleur ocre.
Arrivé à Vérone la barierre de la langue nous rapelle que nous sommes completement perdu en dehors de nos frontière et que la première cassure mentale et bien la langue.
Que faire, comment faire, a qui demander le voyage viens de commencer et on est dans le vif du sujet à la  découverte des barbares ce qui ne manges pas comme nous et qui ne parles pas comme nous, c'est ce que nous sommes venu chercher et en italie on est servi.
La langue c'est un constat et différente même si c'est une racine latine, mais ce qui m'a le plus frappé en arrivant en italie c'est les physique qui change et la population le rapport à l'espace qui est tout autre enfin bref on à vraiment changé d'espace temps, d'autant plus que notre hotel n'est pas à Vérone même, mais à Pédomonté une petite bourgade à quelque encablure de Vérone.
Aprés quelque prospections sur la place qui jouxte la gare  pour touver le bus qui pourrait nous emmener à Pédomonté, on arrive enfin à trouver le bus N° 26, aprés une attente de 20 mn le chauffeur du bus nous invite à nous installé, on s'exécute et nous voici parti pour notre lieu de couchage, n'etant pas coutumié de ce trajet on demande à une autochtone avec un italien trés primaire le numéro de notre arrêt, elle nous répond dans un Italien les plus fluides et nous confirmes que nous sommes bien dans le bon bus dans la bonne direction.
20 minute de trajet plus tard durant lequel nous avons pu constater que cette région est viticole, nous arrivons à Pédomonté, nous nous rendons à l'adresse indiqué sur notre réservation un homme avec un anglais imécable nous ouvre la porte puis nous présente notre chambre et nous donnes comme il se doit les précotions d'usages.
L'installation faite nous décidons de trouver de quoi nous restaurer donc direction le centre ville ou à notre grandes surpise  une fête de village nous attend. on fait un tours du propriétaires pour trouver quelques liquidités puis on installes sous le chapiteau installé à l'occasion de cette fête.
je ne me sent pas des masses bien car les personnes me regarde d'un aire pas trés amicale je ne dirais pas agressif mais je sent que ma couleur détonne dans le paysage, on se pause des questions et on observe autant qu'on est observé, jeux de regard, commentaire et touticounti.
Aprés quelques échanges de propos avec Coline on se rend compte que nous sommes en plein coeur de la région de la ligue du nord et on se souvient de la maison affublé du drapeau italien se trouvant dans la même rue que l'hotel ou on loge, alors on comprend mieux les regards qui nous son porté.
d'autant plus que Coline et moi on est l'incarnation je pense, dans cette idéologie primaire du mal absolue.
Mais il en faut plus pour décourager ("Juco "= justin et Coline ), on décide de s'invité dans la fête par l'entrée la plus universel qui soit la gastronomie de plus ce n'est pas une provocation la faim nous tenaillait vraiment,
Risoto pour l'un et lasagne pour l'autre, ajouter à cela car les lasagnes ne suffisait pas à nourrir son homme des saucisses avec des frites pour être bien calé.
Nous mangieons tranquillement tout en étant jaugé de toute part le couple mixte surprise de la fête, au moins les pédomontiens auraient quelques choses à raconter.
Enfin bref les jeux de regard continué jusqu'au moment ou une dame d'un certain ages se présente à nous, elle voulais nous vendre un ticket de tombola pour la cermesse du village, elle s'adresse à Coline car étant blanche elle pouvais de surccroit être italienne et donc plus à même de comprendre sa requette mais la rien à faire Coline est bien d'origine italienne mais elle ne connais pas les rudiments de cette langue.
Cependant le commerce dépasse les frontieres et avec quelques balbutiments ont lui fait comprendre que nous sommes Francais et que nous ne comprennons pas l'italien mais que nous voulons bien prendre son ticket de tombola.

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